21 mai
Le printemps a été
dévastateur pour cette belle région, comme le démontre
les photos suivantes. Ici on a déployé une cohorte d’employés municipaux pour remettre la route
accessible aux nombreux usagers, ce qui occasionne une file indienne de plus de
5km de long. Tous doivent y mettre un brin de patiente pour accéder au parc
national Banff.
Ce sont les sources
thermales (sulfureuses) naturelles qui ont retenu l’attention internationale en
1885 et mené à la création du parc national Banff. Selon mes lectures le Canada
aurait été le premier pays à se donner un réseau des parcs nationaux. Un jardin
au centre ville commémore l’endroit où
est né ce réseau. Un must à inscrire sur notre liste à faire pendant notre
séjour.
Une gentille préposée au
centre d’information touristique nous piste sur les différents attraits de la ville
et ses alentours. Avant de la laisser nous lui demandons si possible de
photographier des Big Hornes (mouflon), dans leur état naturel? Sans surprise
de sa part, elle nous indique sur plan, le chemin à suivre en montagne à 20 min.
du centre ville de Banff, sans toutefois nous préciser les heures des
représentations, «Bonne chance». La remercions et poursuivons notre promenade
au centre-ville.
Banff nous apparaît charmant avec un cachet
européen comme certains centres de ski des Alpes. Très touristique mais pas du
tout encombré par ces touristes qui font souvent envahissants et facile à reconnaître, tout
comme ces jolies petites couventines en voyage de fin de saison scolaire.
L’après midi sera consacrée au
secteur Sud-ouest de la ville avec The fairmount Banff, springs Banff upper hot
springs et les points ciblés sur le plan.
Sur le chemin du retour en
rentrant au camping, tentons la chance et optons pour le détour de 20min!
Non seulement les mouflons
étaient au rendez-vous, les lacs de
couleur émeraude tel le lac Louise, le lac Emeraude, le lac Minnewanka, sont un
émerveillement. Le camping n’est pas en reste avec son décor et sa mascotte «les
ours» qu’on nous prévient de ne pas attirer par la nonchalance de certains
campeurs.
Cette fois ci nous serons
aussi chanceux, nous y verrons que les traces à notre levée le lendemain en
ouvrant la porte de la p’tite fugeuse